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samedi 25 décembre 2010

Exposition sculpture peinture "Des femmes, des hommes, ... et l'amour"








Oh toi belle inconnue
J'aime te regarder marcher,
Oh toi belle inconnue
J'aime te voir dans la rue.

J'adore te regarder,
J'admire ton déhanché,

J'aime voir se balancer
Tes formes si prononcées.




Quand l'amour se voit en vert, oh oui en vers !

vendredi 10 décembre 2010

dimanche 21 novembre 2010

Sortie Photo avec Caroline

Dédicace à Caroline, une passionnée de photo. Merci pour cette sortie inoubliable.



jeudi 11 novembre 2010

Cristallerie de Saint-Louis-lès-Bitche

Le 24 Octobre 2010, la cristallerie de Saint-Louis-lès-Bitche a ouvert ses portes comme chaque année. Rappelons que cette dernière est rattachée depuis peu au groupe Hermès. La Verrerie Royale de Saint-Louis, située rue Coëtlosquet dans la commune française de Saint-Louis-lès-Bitche en Moselle, est la plus vieille cristallerie de France.

Suivez son histoire au fil des photos et terminez par quelques objets, qui, ne resteront, pour la plupart d'entre nous, qu'un rêve...


Attention ça chauffe...
Ci-dessus, une combinaison permettant de protéger le verrier lorsque ce dernier change les pots dans lesquels est récupéré le cristal en fusion.

Mise en place du pied sur le verre après soufflage


Après le soufflage, chaque verre est gravé manuellement à l'aide d'un touret à meuler.


Attention les yeux, le moindre petit défaut est détecté et corrigé.
Le moins de pertes possibles, voici le nerf de la guerre, même dans le monde du luxe.


Puis, le motif (en bitume) est posé sur le verre à l'aide d'un film papier


Vient ensuite la finition du motif à l'aide d'un pinceau et de bitume


Après badigeonnage de bitume sur l'ensemble du verre et un attaque à l'acide, voici le résultat, (verre le plus a droite sur lequel le motif apparaît en relief)


Puis le motif du verre est ensuite recouvert d'or et poli à la pierre d'Agathe pour le rendre brillant.


Petit moment culturel...

Une première verrerie est établie en 1586 au lieu-dit Münzthal, la vallée des moines, s'expliquant par l'abandon de la verrerie d'Holbach, l'année précédente. La guerre de Trente Ans provoque des ravages dans la région et la verrerie cesse ses activités au milieu du XVIIe siècle.

Le 17 février 1767, le roi Louis XV autorise par un arrêté du conseil d'État confirmé par lettres patentes du 4 mars 1767, la reprise de l'ancienne industrie. Ses propriétaires sont alors deux avocats à la Cour souveraine de Lorraine et Barrois, René-François Jolly et Pierre-Étienne Ollivier. Elle portera le titre de verrerie royale et sera placée sous le vocable de Saint Louis, en souvenir de Louis IX. La verrerie passe par la suite aux Lassalle, avant d'être vendue en 1788 au baron du Coëtlosquet.

En 1781, les nouvelles verreries royales de Saint-Louis sont les premières sur le continent à mettre au point le cristal, dont l'Angleterre détenait le monopole depuis son invention en 1627 à Newcastle.

En 1802, un directeur de Saint-Louis, Aimé-Gabriel d'Artigues achète la verrerie impériale de Vonêche en Belgique et fonde la Cristallerie de Vonêche. De là proviendront aussi les Cristalleries de Baccarat et les Cristalleries du Val-Saint-Lambert.

En 1829, la verrerie devient la Compagnie des Cristalleries de Saint Louis. La cristallerie, toujours en activité de nos jours, est rachetée en 1989 par la célèbre maison de luxe Hermès.



Fabrication de petits personnages en cristal. Mais ou vont-ils atterrir !


Dans les presses livres bien sûr...



Plus de 2 000 pièces exceptionnelles sont présentés au cœur de la Manufacture de Saint-Louis, dans un cadre architectural unique imaginé par les architectes Florence Lipsky et Pascal Rollet. À l’intérieur d’un écrin fait de bois et de transparence, une promenade de 953 m s’enroule autour d’un ancien four. Une muséographie d’avant garde illustrée par vingt vidéos met en perspective l’histoire des techniques de création depuis leurs débuts il y a quatre siècles, jusqu’à leurs évolutions les plus contemporaines.







Comptez entre 400 et 800€ pour un Roemer en cristal estampillé premier choix et entre 150 et 400€ pour un Roemer estampillé second choix provenant de Saint-Louis.



Merci à tout le personnel de la cristallerie de nous avoir fait découvrir le domaine du cristal et du luxe qui y est associé.

dimanche 26 septembre 2010

Centre Pompidou Metz

Conçu par Shigeru Ban et Jean de Gastines, le Centre Pompidou-Metz offre 5 000 m2 d’exposition permettant d’accueillir des œuvres monumentales, impossibles à exposer chez son frère parisien du fait de leur grande taille. Ce qui frappe le plus, c’est l’architecture de ce bâtiment unique qui se transforme en lanterne spectaculaire à la tombée de la nuit. Comme dans la capitale, le centre dispose d’un auditorium, d’un cinéma, d’un restaurant gastronomique et d’un grand parvis, aux mêmes dimensions qu’à Beaubourg, mais incliné différemment. Les messins pourront d’ailleurs s’enorgueillir de la galerie supérieure qui offre une vue magnifique sur la cathédrale de Metz.












Réalisée en 1911, La noce témoigne d’un changement d’orientation dans le travail du peintre. Dans des toiles de grandes dimensions − au contraire des natures mortes intimistes de Braque, Picasso et Gris à la même époque −, la couleur fait sa réapparition, peut-être à la suite de Delaunay.

Le thème choisi, la noce, implique de nombreux personnages et appelle par lui-même un traitement monumental. De part et d’autre d’une grande vague blanche au centre, rappelant la robe de la mariée, un cortège de personnages se chevauchent, pêle-mêle. Une main, un bras, un chapeau en émergent de temps à autre. Des bribes de paysage sont visibles sur les côtés, comme si la foule, par ses mouvements, les y avait relégués.

Entre les plans qui structurent la surface picturale, seuls quelques arbres et quelques maisons rappellent le Cubisme de Braque et Picasso. Avec cette toile, le tumulte qui caractérise le travail de Fernand Léger jusqu’au début des années vingt est déjà en place.








Dans One and Three Chairs, un objet réel, une chaise quelconque, est choisi parmi les objets d’usage courant les plus anonymes. Il est placé contre une cimaise, entre sa photographie – son image reproduite par un procédé mécanique – et sa définition rapportée d’un dictionnaire anglais (ou bilingue en fonction du lieu d’exposition) non affichée sur la photographie. L’ensemble est la triple représentation d’une même chose sans qu’il y ait une répétition formelle. Ce qui est multiplié d’une partie à l’autre de l’œuvre, ce n’est pas la chaise réelle, encore trop particulière malgré sa neutralité, ni la photographie qui ne représente que son image du point de vue du spectateur, ni enfin sa définition qui envisage tous les cas répertoriés de l’emploi du mot "chaise" mais néglige de fait celui de la chaise réelle et de son image. Il s’agit dans les trois cas d’un degré distinct de la réalité de l’objet. Tous trois désignent, par leur association, une quatrième chaise, idéale et invisible dont le concept se trouve ainsi suggéré, bien plus que défini. Là où défaille l’objet, intervient l’image, et là où celle-ci à son tour défaille, apparaît le langage, lui-même insuffisant mais déjà relayé par l’objet.






Le tableau « Guernica » date de 1937. La guerre d'Espagne fait alors rage. La ville de Gernika a été bombardée et presque entièrement détruite lors de la guerre civile espagnole par un acte d'une violence sans précédent à l'égard des populations civiles.

Pablo Picasso, choqué et bouleversé par les exactions du Général Franco, sur une toile de 8 mètres de long et 3,5 mètres de large, jette alors sa colère. Il le fait au travers d’une réaction personnelle, érigée en symbole.

Trois exemplaires de cette tapisserie de 7 mètres de long et de 3,30 mètres de large sont tissés, à la demande de Picasso, dans l’atelier Cavalaire de Jacqueline et René DÜRRBACH de saint Rémy de Provence, avec cette injonction de l’artiste : « surtout ne soyez pas imitatifs ! ».

Le premier (1955) se trouve actuellement dans la salle d'entrée du Conseil de Sécurité de l'ONU à New York, le second (1976) est conservé en France, au Musée Unterlinden de Colmar. Le dernier exemplaire, tissé en 1985, a été acquis par le Musée d'Art Moderne de Gunma au Japon en 1995.

vendredi 13 août 2010

Château Bayard, Pontcharra (Isère)



Deumeure du célèbre Pierre III Teraille "Chevalier sans peur et sans reproche".


A Marignan, au soir de la victoire, pour le « grandement honorer », François Ier veut prendre « l'ordre de chevalerie de sa main ». C'est ainsi que le lendemain matin, le 15 septembre 1515, les compagnies d'ordonnance sont rassemblées et le roi, alors âgé de vingt ans, se serait fait adouber par celui qui réalise le mieux aux yeux de tous l'idéal de courage et de loyauté des preux du Moyen Âge, le chevalier sans peur et sans reproche...

jeudi 12 août 2010

dimanche 8 août 2010

Randonnée des Sept Laux

Début de la randonnée, 8h45, ce dimanche 8 Aout 2010.
Départ de Fond de France, dans le massif de Belledonne en passant France Barral, Côte Rosset et Les Deux Ruisseaux pour finir par le célèbre passage du Cul de la Vieille. 6km de marche pour arriver au lieu dit des Sept Laux. La randonnée va être prometteuse.



Un petit apperçu de la carte de randonnée histoire de se mettre dans le bain




Un petit détour avant la cascade du pissou, le chemin paréssait déjà raide. Ce n'était qu'un début.



Premier panorama lors de l'ascension des Sept Laux, la vue commencait déjà à être plus ou moins sympathique.



Unique passage à l'aide d'un pont en pierre sur un ruisseau d'eau claire. Une eau pure et incroyablement fraiche.





L'arrivée se fait proche, voici la centrale électrique des Sept Laux.



Le lac noir, situé directement en aval de la centrale électrique. Le paysage ne cessera de nous étonner à partir de ce point. Voyez donc un peu plus bas dans mes prises de vues...





Vues sur le barrage du lac carré. On se rapproche petit à petit de l'objectif fixé...



Le lac carré de la centrale hydrau électrique des Sept Laux.



Le lac carré, une eau claire et limpide dans laquelle il est possible de voir le fond rocailleux. Une pure merveille.



En passant derriere le barrage du lac carré ...



Destination de refuge des Sept Laux. Quelle impatience...



Voici le dernier lac (Lac Cottepens)auquel nous nous sommes arrêté. Il était 15h30. A droite du panorama, le refuge des Sept Laux.






Pour finir, une petite photo des randonneurs avant d'attaquer la redescente. Il faudra encore bien du courage avant d'arriver à nouveau à notre point de départ.